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MIHOUB SABRI

9 juin 2008

un activité pédagogique sur un voyage

Grand tour de l’Annapurna, Népal

Nous sommes partis le 21 décembre 2001 pour Dorval, aéroport de Montréal. Nous sommes onze québécois tout énervés, car nous partons pour le Népal, et oui ce pays aux montagnes superbes et inoubliables ; tellement elles sont impressionnantes. Nous quittons le 21 au soir, car notre avion est le lendemain à 6h30. Nous avions loué un mini bus pour nous conduire. Il est venu nous chercher au Cégep de Trois-Rivières vers 20h00 pour un départ à 20h30. Après avoir embarqué nos grosses valises, nous sommes enfin partis. Salut papa, bye maman, je vous adore et je penserai très fort à vous. Ce fut plutôt bref, mais très émouvant. Nous sommes arrêtés souper au St-Hubert non loin de l’aéroport, par la suite nous nous sommes dirigés vers notre destination du jour. Il nous fallu débarquer nos grosses poches pour pouvoir les enregistrer beaucoup plus tard le lendemain matin. Nous avons donc passé la nuit dans un petit banc à attendre que le temps passe, combattant le sommeil et en rêvant à notre future destination. Pour ma part, je n’ai pas été capable de fermer l’œil une minute ; je n’étais pas la seule. Le temps a fini par s’écouler et vers 5h30 nous sommes allés faire la file pour enfin enregistrer nos valises. Après toutes les vérifications effectuées, nous somme allés nous asseoir pour attendre que notre vol soit appelé. Nous avons attendu environ une demie- heure pour pouvoir enfin embarquer dans notre premier avion. Il s’agit d’un Boeing d’air Canada, un gros avion quoi. Il nous ont servi un muffin aux bananes avec un jus d’orange, il fut très apprécié ; croyez-moi. Alors, nous avons effectué le trajet qui suit : Montréal-Toronto soit 1h26 minutes, un très petit vol. Arrivés à Toronto vers 7h56, nous sommes repartis vers 9h10 pour nous rendre jusqu’à Los Angeles, un vol de 5h28 minutes. Nous allons bientôt changer l’heure car il y a quelques heures de plus à Los Angeles. Nous sommes arrivés vers 11h38. Je ne me suis jamais aussi fait fouiller de toute ma vie! Enlève les bottes, remets les bottes, lève le chandail, lève les bras ; ça ne finissait plus. Ce fut tellement long, qu’on n’a passé proche de manquer l’avion. On courrait comme des fous dans l’aéroport mais, nous sommes arrivés à temps!

Maintenant, nous sommes en direction de Bangkok, un vol de 19h49 minutes avec Thaï airways, c’est très long je peux le dire. Nous avions un très bon service avec cette compagnie thaïlandaise. Ce sont des asiatiques qui s’occupent du service. Nous avons très bien mangé et le vin coulait à flot. Je sais maintenant un mot en thaï  soit : sawasdee ka, qui veut dire simplement bonjour ; il se dit les mains jointes. Nous avons fait une escale à Tokyo, disons plutôt un transit. Nous sommes restés environ une demi-heure dans cet aéroport,  Nathalie et Julie ne se sentaient vraiment pas bien. Après ce long vol, nous sommes arrivés à l’aéroport de Bangkok vers minuit et nous sommes allés nous coucher un peu, quelques heures. Il faisait tellement froid dans cette chambre c’était incroyable! Au moins, il y avait une douche ; nous en avons profité!! Quelques heures plus tard, nous avons déjeuné et nous avons pris un autre avion pour notre destination finale, le NÉPAL. C’était un petit vol, soit 3h45 minutes toujours avec la même compagnie. Quand nous étions près de notre objectif, nous avions une vue exceptionnelle ; soit la merveilleuse chaîne de L’Himalaya au grand complet ; c’était tout simplement fascinant et émouvant de pouvoir enfin la voir des mes yeux. Nous sommes enfin atterris à Katmandou, capitale du Népal. Je ne peux pas expliquer le bonheur que j'ai ressenti en mettant mon premier pied dans ce pays de rêve. J’étais entrain de vivre quelque chose de vraiment spécial, je pouvais avoir une vue grandiose de ce que j’avais vue sur papier quelques mois auparavant.

Nous sommes entrés dans l’aéroport pour avoir notre visa népalais, ce qui nous permet de rester dans le pays pour un certain temps. Après, nous nous sommes dirigés vers le carrousel pour récupérer nos chères valises, mais elles n’étaient pas là! Nous les aurons le lendemain par un autre vol. En sortant, Nima Temba Sherpa et Migma nous attendaient avec impatience. En fait, ce sont les deux responsables de l’agence de trek que Marc connaît très bien. Ils nous ont remis un collier de fleurs naturelles qui signifie bienvenue. Par la suite, un autobus typiquement népalais nous attendait pour pouvoir nous diriger vers notre hôtel, le Nirvana. Nous avons eu un premier contact avec la conduite népalaise. Je peux dire que le klaxon est un élément essentiel dans ce pays… C’est une très belle place où nous logeons, j’étais avec Julie dans ma chambre. Quand nous sommes arrivés, nous avons eu droit à un petit breuvage. Une heure plus tard, nous nous sommes retrouvés dans le jardin de l’hôtel pour que Migma puisse nous échanger notre argent américain en roupie. Par la suite, Nima nous a remis une carte de Katmandou et une deuxième qui contenait juste notre trek. Après, nous avons décidé de ce que nous ferions le lendemain. Nous sommes allés visiter ou nous avons pu magasiner avec nos yeux pour nos achats futurs. Nous sommes allés souper au fire & ice, un excellent resto italien. Marc, Julie, Hélène et moi avons partagé trois pizzas et Marc n’a jamais voulu que je paye. Julie s’est fait offrir une crème glacée par un serveur! Après avoir pris un bon souper, nous avons marché dans les rues de Katmandou et par la suite nous avons rejoint notre lit avec un très grand plaisir.

Parlons un peu plus de la visite à Bhaktapur. Ce fut très intéressant comme première place. Nous avions déjeuné au pumpernickel, un endroit où il est possible de déguster des croissants au chocolat, des croissants au beurre… et un café sublime. Durant notre visite, nous avons vu une école de tanka. Ce sont des peintures qui représentent la vie de Bouddha, c’est vraiment super beau. Nous partons pour le trek bientôt et nous aurons sept heures d’autobus à faire pour se rendre à notre village de départ soit, Besi sahar. J’étais assise avec Ève-Line et nous avons ri tout le long. Je crois que la fatigue sortait sans se gêner. ( un jeep abandonnée, mon banc est droit et le petit vendeur d’arachides..) Nous sommes arrêtés pour dîner et voici notre premier dal bath!! C’est un riz blanc servi avec des légumes, de la viande et une petite sauce aux lentilles ; j’adore la bouffe népalaise. Également, il n’y a pas juste un contact avec la nourriture népalaise… il y a aussi les toilettes turques, c’est un trou par terre et il n’y a pas de clenche, donc ça pu énormément! Je peux dire qu’il faut attendre d’avoir vraiment envie pour rentrer dans la petite cabane quand il y en a une. Plus tard, il y a eu une avalanche de roches, nous avons du attendre un petit peu. J’avais oublié, Migma ne pourra pas faire le trek avec nous, car sa mère se fait opérer pour une cataracte. Nous la reverrons après notre grand tour de l’Annapurna. Nous avons fini par arriver au premier village, les fesses carrées et le cœur un peu sur la flotte…   

 

Exercice de grammaire

1.       1. De ce récit relevez 10 verbes d’action

2.       2. Relevez 2 temps de narration

3.       3. Relevez le dominant dans le récit

4.       4 .Relevez 3 figures de styles

5.       5 .On ce qui concret le chois énonciatif, relevez 2 phrases

6.       la voix passive

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27 mai 2008

le prophéte mohamed

Tu dois connaître cet homme, Mohammad


(que la Paix et les Bénédictions de Dieu soient sur lui)

Que tu sois athée ou libre penseur.Que tu appartiennes à une quelconque religion de ce monde ou non.Que tu sois communiste ou partisan de la démocratie et de la liberté, peu importe qui tu sois, peu importent tes croyances religieuses ou politiques, tes habitudes sociales ou personnelles,
Tu dois connaître cet homme !

Il fut, de loin, l'homme le plus remarquable qui ait jamais existé sur cette terre.Il prêcha une religion, fonda un état, bâtit une nation, établit un code moral, initia de nombreuses réformes sociales et politiques, fit naître une société solide et dynamique qui personnifia ses enseignements en les mettant tous en pratique, et qui révolutionna tous les domaines de la pensée et de l'action humaines d’alors, de jadis, et des temps à venir.
Son nom était Mohammad, que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur Lui.Il acheva toutes ces merveilles en vingt-trois (23) ans, un laps de temps incroyablement court.

Mohammad naquit en Arabie le 20août 570 de l'ère chrétienne d’une jeune veuve qui devait mourir elle aussi peu après.
Mais il était destiné à vivre sous les feux de l’Histoire: son existence nous est connue dans les moindres détails.
Et quand il mourut à l'âge de 63 ans toute la péninsule arabe avait abandonné le polythéisme et l'idolâtrie pour l'adoration d'un Dieu unique...Les querelles et les guerres tribales cédèrent la place à la solidarité et l'unité nationales; l'ivresse et la débauche devinrent sobriété et piété ; l'iniquité et l'anarchie se transformèrent en vie disciplinée ; de la décadence morale elle atteignit le plus haut niveau de la moralité.L'histoire de l'humanité n'aura jamais été témoin d'une transformation, Ô combien radicale d'un peuple ou d'un pays !

L'Encylopédia Britannica le proclame "l'Homme de religion qui a connu le plus de succès sur cette terre."

Georges Bernard Shaw a déclaré que si Mohammad vivait encore, il réussirait à résoudre tous les problèmes qui menacent notre civilisation, aujourd’hui.
Thomas Carlyle fut tout étonné qu'un seul homme, d'un seul tour de main, pût souder des tribus ennemies et des Bédouins nomades en une nation, la plus puissante et la plus civilisée qui soit, et ce, en moins de 20 ans.

Napoléon et Gandhi rêvaient inlassablement d'une société de la même trempe que celle forgée par cet homme en Arabie il y a 13 siècles.

En effet, nul autre humain n'accomplit autant dans les domaines aussi variés de la pensée et du comportement humains, et dans un temps aussi limité, que Mohammad (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur Lui).Illetré, il était cependant un enseignant des nations, un réformateur social, un guide moral, un penseur politique, un génie militaire, un colosse de l'administration, un ami sincère, un compagnon merveilleux, un époux dévoué, un père affectueux - tout cela en un seul homme.Aucune personnalité de l'histoire ne put le surpasser ou même l'égaler, dans n'importe quel domaine de la vie.

Ce monde a eu son lot de grandes personnalités.Mais elles ne furent illustres que dans un ou deux domaines, tels que la pensée religieuse ou la direction des affaires militaires.
De tous les autres dirigeants de ce monde aucun ne put combiner autant de qualités diverses et à un degré de perfection aussi impressionnant que Mohammad (PBSL).

La vie et les enseignements des autres grandes personnalités du monde se sont enfouis dans les replis poussiéreux de l’Histoire.L'époque et le lieu de leur naissance, leur mode de vie, la nature et les détails de leurs enseignements, le degré de leur réussite ou de leur échec sont tellement sujets à des conjectures qu'il est impossible à l'humanité, aujourd'hui, de reconstituer avec précision la vie et les enseignements de ces hommes.

Tel n'est pas le cas de Mohammad (PBSL).Non seulement était-il né à une époque resplendissante de l'histoire écrite, mais tous les détails de sa vie privée et publique, de ses actes et de ses paroles ont été enregistrés et fidèlement conservés jusqu'à nos jours.L'authenticité de ces informations ainsi préservées est attestée non seulement par les croyants inconditionnels, mais aussi par les critiques et les érudits les plus éminents.Sur le plan des idées, il n'existe aucun système de pensée ou de croyance - séculaire ou religieuse, social ou politique - qui puisse surpasser ou égaler l'ISLAM, le système que préconisa Mohammad.Dans un monde en constante transformation, alors que d'autres systèmes ont connu des modifications profondes, seul l'ISLAM est resté intact, libre de toute mutation ou de tout changement, ayant préservé sa forme originelle, vieille de quatorze siècles.D'ailleurs, les changements positifs qui s'opèrent dans le monde de la pensée et du comportement humain font vraiment et logiquement honneur à la saine influence de l'Islam dans ces domaines.

Du reste, il n'a pas été possible aux plus grands penseurs, au cours de leur vie, de mettre en pratique toutes leurs idées, ni de voir germer les graines de leur labeur que ce dernier aurait portées.Excepté bien sûr Mohammad (PBSL) qui prêcha non seulement les idées les plus merveilleuses, mais il réussit à mettre en pratique chacune d'elles, et ce, au cours de sa vie.
Au moment de sa mort, ses enseignements n'étaient pas que de simples préceptes ou de simples idées, attendant l'heure de leurs concrétisations, mais au contraire, ils avaient déjà pris place dans le cœur et dans la vie de dizaines de milliers d'individus parfaitement formés, et chacun d'entre eux personnifiant merveilleusement chaque élément que Mohammad incarnait et enseignait.
A quel autre moment ou lieu, et par rapport à quel autre système politique, social ou religieux, et par quelle autre philosophie ou idéologie, le monde a-t-il été témoin d'un phénomène aussi stupéfiant ?

En fait, aucun autre système et aucune autre idéologie séculaire ou religieuse, sociale ou politique, ancienne ou moderne - ne pourraient prétendre à l'honneur d'avoir été mis en pratique dans son intégralité et dans son intégrité au moins une fois au monde, avant ou après la mort de celui qui l'aurait proposé.Excepté bien sûr, l'Islam, cette idéologie prêchée par Mohammad, qui fut établie comme un mode de vie complet et adopté par l'enseignant lui-même, avant qu'il ne quittât ce monde.L'Histoire témoigne, de ce fait, et les plus sceptiques n'ont d'autres choix que d'être d'accord sur ce point.
En dépit de ces étonnantes réalisations, et malgré les innombrables miracles convaincants et authentiques dont il a été l'auteur, et le succès colossal dont ses efforts furent couronnés, il ne s'est jamais proclamé Dieu, ou l'incarnation de Dieu, ou le Fils de Dieu, mais plutôt être humain, choisi et destiné par Dieu, à enseigner la vérité, et d'être un modèle et un exemple pour l'humanité.
Car Mohammad reçoit certes de la part des musulmans une certaine dévotion. Mais qu’il serait incorrect de mal interpréter: il n’est en effet, qu’un messager de Dieu, humain parmi les humains, comme tous les prophètes de Dieu. Le Coran, compilation des révélations divines, le désigne cependant comme un “excellent modèle” pour l’édification des croyants (Sourate 33, verset 21).

Il ne fut ni plus ni moins qu'un être humain.Mais c'était un homme avec une mission noble et exaltée. À l’instar de Jésus (Paix sur lui) [Ne pensez pas que je suis venu abolir la Loi des prophètes, mais l’accomplir - Matthieu 5:17],il n’avait pas pour mission d’abolir les révélations antérieures ou d’instaurer une nouvelle religion, mais de les confirmer tout en dénonçant les violations qu’avaient subies les Écritures. Il était chargé de purifier les enseignements des prophètes antérieurs des transgressions , omissions, et additions des hommes au cours des âges. Sa seule mission fut celle de restaurer l’union des hommes derrière l'adoration d'un Dieu Unique, et de leur enseigner la voie vers une vie honnête et intègre selon les lois et les commandements de Dieu Seul.Il se disait toujours Messager et serviteur de Dieu, et ses moindres gestes en témoignaient amplement.
Annoncer au monde que la soumission à Dieu Seul est l’action salvatrice d’un péril sinon certain: telle fut sa mission.
Un monde qui n'a pas hésité à déifier des individus dont la vie et la mission se sont égarées dans le mythe et qui, sur le plan historique, n’ont même pas accompli la moitié ou le dixième de ce qu'a fait Mohammad (PBSL).

Chacun doit s'arrêter un moment pour faire connaissance avec cet homme remarquable qui se dit être le messager universel de Dieu. Universel par le message, et parce qu’il fut, et restera, le dernier de la lignée des prophètes de Dieu.

Aujourd'hui, après quatorze siècles, l'exemple et les enseignements du Prophète Mohammad (PBSL) ont survécu sans la moindre modification et interpolation.Aujourd'hui encore, ses enseignements représentent l'éternel espoir de guérison pour les nombreuses maladies qui rongent l'humanité, tout comme ils l'ont été durant la vie du Prophète Mohammad (PBSL).Et ce ne sont pas des vues béates ou apologétiques de musulmans, dictées par un dogmatisme désuet.
Ceci est une honnête revendication, et c'est la conclusion objective et inévitable à laquelle mène toute étude impartiale et critique de l'Histoire des religions. Comme l’en atteste bien de spécialistes non-musulmans (1).

La seule chose que chacun doit faire en tant qu'être humain sensible, réfléchi et concerné, c'est de s'arrêter un court instant et de se demander : toutes ces idées extraordinaires et révolutionnaires, sont-elles fondées et véridiques ?
A supposer simplement, qu'elles étaient justes, et que, ami lecteur, tu ne connaissais pas encore cet homme, que tu ignorais ses enseignements, ou encore que tu ne le connaissais pas suffisamment pour tirer profit de sa force, n'est-il pas temps que tu répondes à ce grand appel vers la vérité et que tu fasses un effort pour le connaître ?
Cela ne te coûtera rien, mais ne fera que marquer l'ouverture d'une ère absolument nouvelle dans ta vie:
- chasser les clichés diffamatoires à son encontre
- faire connaissance avec un ensemble de code éthique capable de t’aider à comprendre le passé, à mieux appréhender le présent, et de t’apporter la sérénité face au futur.
- mettre dans une perspective adéquate ton état de créature supérieure, dotée de raison, face à l’Absolu, Créateur.
- comprendre la jonction entre Dieu comme Tel et l’humain comme tel, ainsi que Dieu Lui même l’a définie.
- comprendre l’insertion de l’Absolu dans le relatif, et l’essence même de la religion de tous les prophètes: la soumission à un Dieu Unique, Créateur de l’Univers.

Venons et partons ensemble à la découverte de la vie de ce merveilleux personnage nommé Mohammad (PBSL), car rien d’autre de tel n'a jamais foulé le sol de ce monde. L’exemple de ses enseignements peuvent révolutionner Ta vie et notre monde, et ce, pour le meilleur.

27 mai 2008

une idéé générale sur la voix passive

La voix passive. 

Voix active : Le chat mange la souris.

sujet actif + verbe + complément d’objet direct

Voix passive : La souris est mangée par le chat.

sujet passif + verbe + complément d’agent

  • La transformation passive est soumise à certaines conditions :
  1. Le verbe actif doit être transitif direct ( avoir un complément d’objet direct ).
  2. Le sujet du verbe actif ne doit pas être un pronom personnel, car dans ce cas on préférera l’utilisation du présentatif.

Exemple

: " C’est moi qui ai peint ce tableau ".

et non " Ce tableau a été peint par moi ".

  • La transformation passive entraîne les modifications suivantes :
  1. Le sujet du verbe actif devient le complément d’agent, et il est généralement introduit par la préposition " par ".
  2. Le complément d’objet direct devient le sujet du verbe passif.
  3. Le verbe actif se transforme. Le nouveau groupe verbal passif se forme avec l’auxiliaire " être " conjugué au même temps que le verbe actif, suivi du participe passé (toujours accordé avec le sujet).

Remarques

  1. Quand le sujet du verbe actif est le pronom personnel " on ", il n’y a pas de complément d’agent dans la phrase passive.

    Exemple

    Voix active : " On interdit l’utilisation des téléphones portables en avion ".

    sujet actif + verbe + complément d’objet direct + complément de lieu

    Voix passive : " L’utilisation des téléphones portables est interdite en avion".

    sujet passif + verbe + complément de lieu

    :
  2. Le complément d’agent est introduit par la préposition " de " avec :
    1. Les verbes de description dont l’agent est inanimé.

      Exemple

      Voix active : " Des meubles Louis XV formaient l’essentiel du mobilier ".

      Voix passive : " L’essentiel du mobilier était formé de meubles Louis XV".

      :
    2. Les verbes de sentiment.

      Exemple

      Voix active : " Tous respectaient Mère Teresa ".

      Voix passive : " Mère Teresa était respectée de tous ".

      :
    3. Les verbes utilisés au sens figuré ( au sens propre le

      complément d’agent est introduit par la préposition " par ").

Exemple

Voix active : " Mon refus catégorique le surprend ". ( sens figuré )

Voix passive : " Il est surpris de mon refus catégorique ".

Voix active : " La police a surpris les cambrioleurs ". ( sens propre )

Voix passive : " Les cambrioleurs ont été surpris

:
:
OBSERVEZ :

27 mai 2008

l'accord de participe passé

Accord du participe passé des verbes pronominaux

Les verbes pronominaux se conjuguent avec l'auxiliaire "être". Mais certains pronominaux dits "réfléchis" (le sujet fait l'action sur lui-même : Il se lave) et "réciproques" (plusieurs sujets font l'action les uns sur les autres : Ils se réconcilient) sont parfois transitifs directs et assimilés avec les verbes se conjuguant avec l'auxiliaire "avoir" (accord avec le complément d'objet direct si celui-ci précède).

Devant les pronominaux réfléchis et réciproques il convient de chercher et de situer le complément d'objet direct. Celui-ci peut être :

- le pronom réfléchi : Elle s'est blessée = Elle a blessé qui? (souvenez-vous : le verbe est traité comme s'il était conjugué avec "avoir", donc la question se pose avec l'auxiliaire "avoir"), elle a blessé qui? = "se" mis pour elle-même = COD placé avant = accord.

- un élément autre que le pronom réfléchi : celui-ci peut être placé après et il n'intervient pas dans l'accord (Elle s'est blessé la main). Mais il peut être placé avant et force l'accord (La main qu'elle s'est blessée).

S'il n'y a pas d'objet direct le participe est invariable (Ils se sont succédé, par exemple, répond à la question "à qui?" c'est un objet indirect).

Notez : les règles et les exceptions concernant l'accord du participe passé conjugué avec "avoir", s'appliquent pour les pronominaux réciproques et réfléchis : en particulier, lorsque le verbe est précédé d'un collectif ou nom de fraction, lorsqu'il est en rapport avec "le peu", précédé de "en", suivi d'un infinitif, etc.

En dehors des cas ci-dessus qui concernent les réfléchis et les réciproques, le participe passé des verbes pronominaux s'accorde avec le sujet. Soit que le pronom réfléchi ne soit pas analysable, soit que le verbe soit transitif indirect ou intransitif.

Elles se sont échappées.
Ils se sont repentis.
Ces fruits se sont bien vendus.
etc.

27 mai 2008

une résumé du mésirable

Hugo
Les Misérables

Jean Valjean et l'évêque. Jean Valjean, un ancien forçat, trouve asile, après une lamentable cours errante, chez Monseigneur Myriel, évêque de Digne. Il se laisse tenter par des couverts d'argent et déguerpit à l'aube. Des gendarmes le reprennent ; mais l'évêque témoigne en sa faveur et le sauve. Cette générosité le bouleverse erse . Il cède à une dernière tentation, puis il devient un honnête homme (I 1 à 4)
M. Madeleine et Fantine. Fantine a été séduite, puis abandonnée avec sa petite fille Cosette Arrêtée à la suite d'une dispute, elle est âprement interrogée par le policier Javert ; mais le maire de la ville M Madeleine, la fait relâcher Cette clémence, déconcertante de la part d'un magistrat confirme le soupçon de Javert : M. Madeleine et Valjean ne font qu'un. Quelques temps plus tard, un malheureux, Champmathieu, est pris pour l'ancien forçat de nouveau recherché. Après un douloureux débat intérieur, le vrai Jean Valjean se fait reconnaître en plein tribunal. Momentanément laissé libre, il assiste à l'agonie de Fantine lui jure de veiller sur Cosette : puis il s'échappe et gagne Paris (I 5 à 8)
Cosette et les Thénardier. Cosette est servante chez le sinistre Thénardier qui fait fortune en détroussant les morts de Waterloo. Jean Valjean a été repris par Javert et réintégré au bagne. Il s'est encore évadé mais tout le monde le croit noyé. Il revient, arrache Cosette au ménage Thénardier, se cache avec elle dans une masure, puis à la communauté de l'adoration Perpétuelle rue de Picpus (II).
L'idylle rue Plumet. Jean Valjean s'installe rue Plumet sous le nom de Fauchelevent. Il lie connaissance avec un jeune républicain Marius, qui aime Cosette. Une fois de plus, arrêté par Javert, il se sauve.
L'épopée rue Saint Denis. En 1832, l'émeute gronde rue St-Denis. Sur la barricade, Jean Valjean lutte avec Marius et le gamin de Paris Gavroche, sous les ordre de l'étudiant Enjolras. L'ancien forçat se voit confier le policier Javert : généreusement, il lui rend sa liberté, puis sauve Marius blessé. Celui-ci guéri, épouse Cosette ; Jean Valjean a rempli,jusqu'au bout sa promesse à Fantine. Quand il meurt, les chandeliers de l' évêque sont allumés à son chevet.

Liens connexes
Biographie de Hugo
Résumé: Les Châtiments
Résumé: Le dernier jour d'un condamné
Résumé: Les Contemplations

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27 mai 2008

quelques proverbes de hugo

La langue qui fourche fait plus de mal que le pied qui trébuche. « Envoyer à un ami « Dans mon citabook
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L'erreur n'annule pas la valeur de l'effort accompli. « Envoyer à un ami « Dans mon citabook
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Un veillard qui meurt, c'est comme une bibliothèque qui brûle. « Envoyer à un ami « Dans mon citabook
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On est plus le fils de son époque que le fils de son père. « Envoyer à un ami « Dans mon citabook
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Ce qui est plus fort que l'éléphant, c'est la brousse. « Envoyer à un ami « Dans mon citabook
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Pour qu'un enfant grandisse, il faut tout un village. « Envoyer à un ami « Dans mon citabook
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Que celui qui n'a pas traversé ne se moque pas de celui qui s'est noyé. « Envoyer à un ami « Dans mon citabook
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C'est au bout de la vieille corde qu'on tisse la nouvelle. « Envoyer à un ami « Dans mon citabook
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On tarde à grandir, on ne tarde pas à mourir. « Envoyer à un ami « Dans mon citabook
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Une pirogue n'est jamais trop grande pour chavirer. « Envoyer à un ami « Dans mon citabook
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C'est celui qui n'a jamais exercé qui trouve que le pouvoir n'est pas plaisant. « Envoyer à un ami « Dans mon citabook
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Au chef, il faut des hommes et aux hommes, un chef. « Envoyer à un ami « Dans mon citabook
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Le feu qui te brûlera, c'est celui auquel tu te chauffes. « Envoyer à un ami « Dans mon citabook
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Le vieil éléphant sait  trouver de l'eau. « Envoyer à un ami « Dans mon citabook
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Le mensonge donne des fleurs mais pas de fruits. « Envoyer à un ami « Dans mon citabook
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27 mai 2008

La France en Cartes PostalesintroductionDe 1900

La France en Cartes Postales
introduction

De 1900 jusqu'à la première guerre mondiale, la carte postale a connu un essor important: c'est l'Age d'Or de la Carte Postale. Toute occasion était bonne pour faire partager son voyage avec ses parents ou ses voisins. Un petit mot suffisait, parfois une simple signature.


Honfleur - le port

Les premières cartes postales représentaient la plupart du temps des monuments ou des vues générales sans animation: le voyageur a toujours eu tendance à acheter les cartes postales symbolisant de la manière la plus simple la ville qu'il traversait: la Tour Eiffel à Paris, à Chartres la cathédrale. D'ailleurs, les personnages et les véhicules sont souvent considérés par les photographes comme des éléments parasites à éviter!

Et pourtant, ce sont toutes ces scènes aujourd'hui disparues qui donnent à la carte postale sa valeur: le décor est souvent immuable mais l'animation est significative de l'époque que nous vivons.

Heureusement, la curiosité des photographes et des éditeurs de l'époque a aussi permis de constituer une véritable mine de documents sur les Français du début du XXième siècle, l'animation des villes, les petits métiers... en bref, la vie des Français vers 1900, tant en ville qu'à la campagne.

Bien que la très grande majorité des cartes se négocie entre 5 et 100F, des documents exceptionnels peuvent aujourd'hui atteindre 1000F voire plus, lors de ventes spécialisées qui font le bonheur des collectionneurs passionnés.


Faïencerie de Loc-Maria (Finistère)
Décoration des Faïences délicates

Le plus souvent, il s'agit de scènes qui ont totalement disparu de notre vie moderne. On commence souvent une collection par une ville, la ville où on est né ou la ville où on habite, sur ce site ce sera Honfleur, petit port de Normandie situé à l'estuaire de la Seine.

Par la suite on étend ses recherches, car le simple territoire d'une ville finit tôt ou tard par être trop étroit. Nous quitterons alors Honfleur et la Normandie pour découvrir la Bretagne, une des régions les plus riches en cartes postales, avec de grandes séries.


la bicyclette volante

On peut aussi choisir d'élargir ses champs de recherche en se passionnant pour des thèmes. Ce sera là l'occasion d'un tour de France cartophile.

Il y a ainsi des collectionneurs qui ne se passionnent que pour les autobus, les débuts de l'aviation, les courses automobiles... autant de thèmes, qui sont prétextes à autant de collections sur un sujet bien spécifique.

24 mai 2008

le subjenctif

Le subjonctif

Emplois du subjonctif

Critères sémantiques et modaux en fonction du verbe (assertion altérée)

sentiment 

émotion

aimer mieux, préférer, regretter, être heureux, être content, être ravi, être satisfait...

Je suis content que tu viennes.

Pierre est triste que Jeanne soit partie.

jugement

être indigné, être mécontent,être furieux, être fâché, être en colère, être navré, il est préférable, il est regrettable, il est dommage, il est bon, juste, rare, il est utile, il est temps, il importe, il est important, il convient, il vaut mieux...

je suis indigné qu'il n'ait rien dit.

étonnement

s'étonner, être étonné, surpris...

Je m'étonne qu'elle soit en retard

crainte

avoir peur (+ ne explétif), craindre (+ ne explétif),

J'ai peur qu'il ait oublié notre rendez-vous.

nécessité

il faut, il ne faut pas, il est essentiel, il suffit, il est nécessaire, ce n'est pas la peine, il est obligatoire, ...

Il faut que nous sortions.

volonté

ordre,

ordonner, demander, commander, exiger, attendre (pour un ordre), s'attendre à, proposer, écrire, dire ... ... 

J'exige que tu me dises la vérité

Que personne ne vienne m'ennuyer ! 

souhait

vouloir
, vouloir bien, tenir à, souhaiter, désirer, prier, consentir à

Je souhaite qu'il vienne.

Attention: contrairement au verbe «souhaiter» qui appelle un subjonctif, le verbe «espérer» est suivi de l'indicatif:

J'espère qu'il viendra.

permission, interdiction

permettre, accepter, empêcher, s'opposer à, défendre, interdire, refuser..

J'accepte qu'ils sortent avec leurs amis.

conseil

conseiller, recommander,...

Il vaut mieux que tu partes tout de suite.

possibilité

supposition

il est possible, il se peut, il n'est pas possible, il est impossible, ...

Il se peut qu'elle soit partie.

doute

douter, il est douteux, il est peu probable, il est improbable...

Je doute qu'il soit allé la voir.

Assertion et conviction

Certains verbes de modalité comme «penser» et «croire» sont suivis de l'indicatif à la forme affirmative et peuvent être suivi d'un indicatif ou d'un subjonctif aux formes négative et interrogative 

Verbes marquant le degré de certitude
(penser, croire, trouver, être certain, être sûr...)

Forme affirmative


Je pense qu'il a raison



Je crois qu'il va pleuvoir

 

Forme négative


Je ne pense pas qu'il a raison.
Je ne pense pas qu'il ait raison.


Je ne crois pas qu'il va pleuvoir.
Je ne crois pas qu'il pleuve.


Forme interrogative
(avec inversion du
sujet)

Penses-tu qu'il a raison ?
Penses-tu qu'il ait raison ?


Crois-tu qu'il va pleuvoir ?
Crois-tu qu'il pleuve ?

Verbes d'appréciation par rapport à un événement

Forme affirmative


J'espère qu'il viendra.

Je me souviens qu'il est brun.

Forme négative


Je n'espère pas qu'il viendra.
(espérer=souhaiter)
Je n'espère pas qu'il vienne.
(espérer=s'attendre à)


Je ne me souviens pas qu'il est brun.
(commentaire sur ma mémoire des faits)
Je ne me souviens pas qu'il soit brun.
(doute sur la couleur de ses cheveux)

Forme interrogative
(avec inversion du sujet)

Espères-tu qu'il viendra ?
(espérer=souhaiter)
Espères-tu qu'il viennes?
(espérer=souhaiter)


Te souviens-tu qu'il est brun ?
(question sur ta memoire)

Te souviens tu qu'il soit brun ?
(doute sur la couleur de ses cheveux) 

Verbes de déclaration
(dire, affirmer, déclarer, prétendre, nier...)

Forme affirmative

J'affirme qu'il a menti.

Tu nies qu'il a des preuves.(+ indicatif)
Tu nies qu'il ait des preuves.
(+ subjonctif)

Forme négative

Je n'affirme pas qu'il a menti
Je n'affirme pas qu'il ait menti.


Tu ne nies pas qu'il a des preuves.
Tu ne nies pas qu'il ait des preuves.

Forme négative

Affirmes-tu qu'il a menti ?
Affimes-tu qu'il ait menti ?


Nies-tu qu'il a des preuves ?
Nies-tu qu'il ait des preuves ?

Critères formels : après des tounures dites impersonnelles

expressions modales ayant «il» comme sujet 

il faut que, il est étonnant que, il est bon que, il est important que, il est intéressant que, il est naturel que, il est temps que, il est dommage que, il est inacceptable que, il est étrange que ...

Il est inacceptable que des étudiants spécialistes ne sachent pas écrire le mot «travail».

Il faut que vous fassiez ce devoir.


Il est étrange qu'il ne soit pas arrivé.

Critères formels : après certaines conjonctions

but 

pour que, afin que

de façon que, de manière que, de sorte que
(lorque ils exprime un but et non un résultat consécutif)

Mets ton manteau pour que nous puissions partir.

Allumons le feu de sorte que nous ayons bien chaud.
mais
La musique des voisins s'est arrêtée de sorte que je me suis enfin endormie.

temps

avant que ( + ne facult.)
(attention : «après que» est suivi de l'indicatif)

jusqu'à ce que

en attendant que

Je dois finir mon travail avant qu'ils (ne) viennent.



Je ne partirai pas jusqu'à ce qu'il fasse nuit.

Sa mère garde le secrêt en attendant qu'il grandisse.

condition

à condition que,
à supposer que,
pourvu que

Je veux bien faire une promenade à condition que tu sortes avec moi.

concession

bien que, quoi que Sortons bien qu'il fasse froid dehors.

restriction

à moins que + ne Je vais sortir à moins qu'il ne pleuve.

crainte

de peur que + ne
de crainte que + ne
je ne dis rien de peur que tu ne te méprennes sur mes propos.

Critères sémantico-syntaxique (dans certaines complétivesen début de phrase)

complétive introduite par que avec un commentaire du locuteur. 

Que...,

Qu'il soit intelligent, c'est indiscutable.
Qu'elle prenne du vin, cela ne m'étonne pas.

Critères sémantico-syntaxique (dans une subordonnée relative en fonction de l'antécédant)

antécédant précédé d'un superlatif 

le seul, l'unique, le premier, le dernier, le meilleur

C'est la seule qui ait répondu à mon invitation.

antécédant indéterminé

personne, peu de, rien, quelque chose... Je ne connais personne qui puisse réussir ce travail.

antécédant précédé d'un indéfini

un / une

Je cherche une personne qui sait le français.
(=une personne spécifique dont l'une des caractérisiques est de savoir le français)

Je cherche une personne qui sache le français.
(n'importe qui à condition qu'il parle français)


Remarque : Avant le subjonctif les expressions en «à» sont suivies de «ce»

  • jusqu'à ce que tu viennes.
  • de manière à ce que ...
  • consentir à ce que ...
  • s'attendre à ce que ...

Concordance des temps avec le subjonctif

Verbe de la principale

Verbe de la subordonnée

procès concommitant ou postérieur à celui de la principale

procès antérieur à celui de la principale

présent
passé composé
imparfait
futur
conditionnel présent
conditionnel passé

Présent du subjonctif

J'ai peur qu'elle parte.
J'ai eu peur qu'elle parte.

J'avais peur qu'elle parte (partît).
J'aurai peur qu'elle parte.
J'aurais peur qu'elle parte
 (partît). 
J'aurais eu peur qu'elle parte
 (partît). 

Passé du subjonctif

J'ai peur qu'elle soit partie.
J'ai eu peur qu'elle soit partie.

J'avais peur qu'elle soit (fût) partie.
J'aurai peur qu'elle soit partie.
J'aurais peur qu'elle soit (fût) partie.
J'aurais eu peur qu'elle
soit (fût) partie.


Voir : Formes du subjonctif
Voir aussi : Prépositions et conjonctions correspondantes
Voir encore : Emploi du NE explétif


Pour aller plus loin:

 

Autres ressources en ligne

Explications

Exercices

À l'Université de Toronto

Le Grimoire

Liens externes

 

24 mai 2008

descreption de la langue

Formation du participe présent

radical de la forme avec "nous" au présent + ANT

Formes régulières

Infinitif

Forme avec nous

Participe présent

manger nous mange-ons mangeant
finir nous finiss-ons finissant
courir nous cour-ons courant
croire nous croy-ons croyant
se lever nous nous lev-ons se levant

Trois exceptions

ayant

étant

sachant

Forme composée

ayant mangé étant sorti(e)(s) s'étant envolé

Emplois du participe présent

Relation de simultanéité :
Remplace une subordonnée relative en "qui"
J'ai vu ces gens trembant d'émotion.
(qui tremblaient d'émotion)
Rapport causal Craignant de râter mon emission préférée, j'ai branché le magnétoscope.
Relation d'antériorité avec la forme composée

La tempête étant terminée, nous avons pu sortir.

Remarque : Lorsque le participe présent est en début de phrase il se rapporte au sujet du verbe de la principale.

Connaissant ton courage, je sais que tu va t'en sortir.
et non *Connaissant ton courage, tu vas t'en sortir. (C'est moi et non toi qui connais ...)

Les dérivés du participe présent

Certains participes présents sont parfois employés :

comme préposition durant le match...
Recherche suivant le titre d'une œuvre
comme nom

un(e) passant(e)
un(e) débutant(e)

comme adjectif Une bataille sanglante
un film poignant

Distinction entre le participe présent et l'adjectif verbal

Participe présent

Adjectif verbal

forme verbale toujours invariable

Je les ai trouvées tremblant de faim de de froid.

S'accorde en genre et en nombre avec le nom qu'il qualifie

Je les ai trouvées tremblantes, affamées et frigorifiées.

peut être suivi d'un adverbe de temps ou de manière

Je les ai touvées tremblant nerveusement.

peut être précédé d'un adverbe d'emphrase

Je les ai trouvées toutes tremblantes.

peut être suivi d'un complément

Je les ai trouvées tremblant dans un coin.

Peut être attribut du verbe « être »

Quand je les ai trouvées, elles étaient tremblantes.

L'adjectif verbal

Attention : L'orthographe de l'adjectif verbal peut différer du participe présent dont il dérive :

Participe présent

Adjectif verbal

adhérant adhérent
communiquant communicant
convainquant convaincant
détergeant détergent
différant différent
divergeant divergent
équivalant équivalent
excellant excellent
expédiant expédient
extravaguant extravagant
fabriquant fabricant
fatiguant fatigant
influant influent
négligeant négligent
précédant précédent
présidant président
provoquant provocant
résidant résident
somnolant somnolent
suffoquant suffocant

 

Le gérondif

Le gérondif est formé de

EN + participe présent

Emploi du gérondif

Le gérondif traduit communément les expressions anglaises de type "by doing" ou "while doing" .

concommitance (pendant que) J'ai retrouvé ma montre en rangeant ma chambre.
simultanéité (au moment où) J'ai aperçu Marie en entrant dans le restaurant.
manière ou moyen

Il est arrivé en courant.

En travaillant régulièrement, on obtient de bons résultats

cause Elle s'est blessée en grimpant sur une chaise.
condition En prenant le métro, tu arriveras plus vite.
TOUT + gérondif (concommitance) Il chantonne tout en s'habillant.
TOUT + gérondif (opposition, concession) Tout en comprenant votre problème, je ne peux rien faire pour vous.

Négation du gérondif

SANS + infinitif

Il est arrivé en courant. Il est arrivé sans courir.


Expressions qui ne se traduisent pas par un gérondif

Le gérondif ne traduit pas toutes les formes en "ing" de l'anglais.
Le participe présent ne peut pas suivre une autre préposition que « EN »

He spends his time watching TV. Il passe son temps à regarder la télé.
He has no intention of studying. Il n'a acune intention d'étudier.
Painting is my favourite pastime.

Peindre est mon passe-temps préféré.
La peinture est mon passe-temps préféré.






Pour aller plus loin:

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Liens externes
22 avril 2008

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